David Sacks, responsable des politiques sur les Cryptoactifs et l'IA à la Maison Blanche, a récemment lancé une attaque sur les réseaux sociaux, s'en prenant directement au New York Times.
Les événements remontent à cinq mois. Selon Sacks lui-même, ce vieux média tentait alors de concocter un article approfondi sur ses "conflits d'intérêts". Le journaliste a lancé une série d'accusations - des dîners privés avec des grands du secteur technologique, des promesses de mettre en relation des gens avec le président, et même des ingérences dans des contrats de défense.
La réaction de Sacks est très dure : il réfute point par point, renvoyant chaque accusation. Et le résultat ? Chaque fois qu'il démolit une accusation, les journalistes changent d'angle et continuent à chercher la petite bête, un peu comme un jeu de tapette.
Sacks a finalement déclaré : "Le New York Times ne fait plus de reportage objectif depuis longtemps." Il ne parle pas seulement pour le plaisir, il a déjà engagé le cabinet d'avocats Clare Locke, spécialisé dans les litiges médiatiques, pour s'occuper de cette affaire.
Avec cette attitude, il est probable que cette bataille de mots ait encore des suites.
Voir l'original
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
13 J'aime
Récompense
13
7
Reposter
Partager
Commentaire
0/400
down_only_larry
· Il y a 8h
nyt ce piège est devenu ennuyeux, c'est toujours le même schéma.
Voir l'originalRépondre0
FlyingLeek
· Il y a 8h
Le New York Times a vraiment un piège trop mauvais, les questions de type « taper sur les taupes » sont ridicules. Si Sacks se bat vraiment cette fois, voyons qui rira en dernier.
Voir l'originalRépondre0
MoonWaterDroplets
· Il y a 8h
Le piège du New York Times est vraiment incroyable, les questions de type « frapper les taupes » sont vraiment absurdes haha
Voir l'originalRépondre0
PancakeFlippa
· Il y a 9h
Ha, c'est la vieille méthode des médias traditionnels, si on ne peut pas te contredire, on change de tactique et on continue à te contredire.
Voir l'originalRépondre0
AltcoinTherapist
· Il y a 9h
Ce piège du New York Times est vraiment trop vieux, à chercher des points noirs comme un jeu de taupe, pas étonnant que de moins en moins de gens y croient.
Voir l'originalRépondre0
Blockblind
· Il y a 9h
Cette stratégie de New Times devient de plus en plus évidente, ils mordent qui ils attrapent, et il faut encore un avocat pour s'en occuper.
Voir l'originalRépondre0
CryptoSourGrape
· Il y a 9h
Si je pouvais aussi avoir les ressources d'un pro pour attaquer le New York Times, ce serait bien, mais pour l'instant, je suis coincé ici à envier les sujets tendance des autres...
David Sacks, responsable des politiques sur les Cryptoactifs et l'IA à la Maison Blanche, a récemment lancé une attaque sur les réseaux sociaux, s'en prenant directement au New York Times.
Les événements remontent à cinq mois. Selon Sacks lui-même, ce vieux média tentait alors de concocter un article approfondi sur ses "conflits d'intérêts". Le journaliste a lancé une série d'accusations - des dîners privés avec des grands du secteur technologique, des promesses de mettre en relation des gens avec le président, et même des ingérences dans des contrats de défense.
La réaction de Sacks est très dure : il réfute point par point, renvoyant chaque accusation. Et le résultat ? Chaque fois qu'il démolit une accusation, les journalistes changent d'angle et continuent à chercher la petite bête, un peu comme un jeu de tapette.
Sacks a finalement déclaré : "Le New York Times ne fait plus de reportage objectif depuis longtemps." Il ne parle pas seulement pour le plaisir, il a déjà engagé le cabinet d'avocats Clare Locke, spécialisé dans les litiges médiatiques, pour s'occuper de cette affaire.
Avec cette attitude, il est probable que cette bataille de mots ait encore des suites.