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🎯 Alors que les analystes macroéconomiques dessinent la vision d’un « super-cycle », les données on-chain racontent une autre histoire

Lors d’un sommet de haut niveau à Dubaï, le célèbre chercheur macro Raoul Pal a lancé une idée qui a enflammé les débats : un « super cycle de liquidité » pourrait émerger en 2026. Son jugement est direct : ce que nous vivons aujourd’hui n’est qu’un repli à mi-parcours dans un marché haussier, la véritable phase d’ascension n’a pas encore commencé.

Le discours est ambitieux, mais le marché n’en fait clairement qu’à sa tête.

Sur le devant de la scène : les grands noms s’affrontent, les anciens paradigmes se confrontent aux nouveaux

L’ancien fondateur d’une plateforme d’échange et le fervent défenseur de l’or Peter Schiff viennent de terminer un « débat philosophique sur la valeur ». L’argument central du premier est pragmatique : la valeur du Bitcoin dépend du fait que des centaines de millions d’utilisateurs à travers le monde y adhèrent, et non de raisonnements menés dans un bureau. Fait intéressant, le débat s’est achevé sur un « et si on collaborait ? » — les tenants des actifs traditionnels et les natifs de la crypto commencent à réfléchir à la coexistence.

En coulisses : le marché subit un stress test

💥 Sur le plan des données : plus de 1,3 milliard de dollars de positions longues et courtes sont accumulés autour des niveaux actuels d’Ethereum ; un mouvement de 3 à 5 % pourrait déclencher une cascade de liquidations. Le conseil de Pal, « n’utilisez pas trop d’effet de levier », n’est pas une simple formule de politesse.

⚠️ Sur le plan de la sécurité : le site officiel de PEPE vient d’être piraté, rappelant une leçon à tous les adeptes des MEME coins.

📊 Sur le plan de l’émotion : certains remarquent que les VC commencent à utiliser des indicateurs ultra rationnels comme le « ratio prix/ventes » pour valoriser des actifs de réserve de valeur tels que Bitcoin. L’expérience historique montre que lorsque les institutionnels en arrivent là, c’est souvent que le marché est au plus bas en termes de sentiment.

Voilà donc la situation actuelle : les élites dessinent de grands scénarios macro, le milieu débat de la philosophie des actifs, et la base lutte avec l’effet de levier, les hackers et des données implacables.

Le super-cycle ne débute jamais sous les applaudissements. Il s’impose plutôt lentement, au fil des bruits, des divergences et d’une série de tests de résistance.

Penses-tu qu’il s’agit d’un « repli à mi-parcours » ou d’une situation plus complexe ? Partage ton avis en commentaire 👇