【Bitpush】Les grandes banques de Wall Street viennent de doucher l’enthousiasme — l’équipe de stratégie de JPMorgan estime que le rally des actions américaines pourrait ne pas durer très longtemps.
Leur logique est directe : le marché a déjà largement intégré les attentes de baisse de taux de la Fed, et les cours sont revenus dans une zone élevée. Dans ce contexte, d’ici la fin de l’année, les investisseurs ont davantage tendance à prendre leurs bénéfices plutôt qu’à continuer d’augmenter leurs positions. Après tout, ce qui devait monter a déjà monté, et les anticipations sont déjà intégrées dans les cours.
Mais si l’on allonge l’horizon, JPMorgan reste plutôt optimiste pour le moyen terme. Ils listent plusieurs facteurs de soutien : un biais accommodant de la Fed en toile de fond ; des prix du pétrole qui stagnent à bas niveau, un ralentissement des hausses salariales, et un relâchement des pressions tarifaires aux États-Unis, autant d’éléments qui donnent à la banque centrale de la marge pour assouplir la politique monétaire sans trop craindre un rebond de l’inflation. En regardant vers 2026, l’atténuation des tensions commerciales, le redressement des économies asiatiques, l’impulsion budgétaire dans la zone euro, ainsi que l’accélération du déploiement de l’IA aux États-Unis, pourraient devenir de nouveaux moteurs.
En clair : prudence à court terme, biais haussier à moyen terme — typique de Wall Street.
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ImpermanentLossFan
· Il y a 2h
En gros, c'est un nettoyage à court terme, on tape dessus à la fin de l'année, puis on continue à monter l'année prochaine.
***
Les anticipations de baisse des taux sont déjà intégrées dans le prix, alors pourquoi continuer à monter ? Vraiment, il faut attendre un recul pour acheter à nouveau.
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Ces discours de JPMorgan deviennent lassants, à court terme on est baissier, à moyen terme on est haussier, peu importe, ce n'est pas incorrect.
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L'essentiel est de savoir si l'espace pour une baisse des taux est vraiment aussi grand, on a l'impression que la Réserve fédérale doit tout couvrir.
***
Le redémarrage de l'IA, la reprise économique en Asie... 2026, c'est quoi ce délire, vivons déjà jusqu'à l'année prochaine avant de penser à autre chose.
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TopEscapeArtist
· 12-10 16:14
Encore une histoire de prise de position à un niveau élevé, le MACD n'a même pas encore croisé à la hausse qu'on parle déjà d'une tendance à moyen terme haussière ? Avec des fondamentaux aussi faibles, vous osez encore être optimiste, c'est vraiment audacieux
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ContractFreelancer
· 12-10 07:17
Il y a effectivement une pression à court terme, mais j’ai trop souvent entendu cette logique de JPMorgan Chase, et les bénéfices qui devraient être consommés ont été consommés depuis longtemps, et maintenant le haussier est de battre les poireaux derrière
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rugpull_ptsd
· 12-09 18:16
Un recul à court terme est raisonnable, mais pour être honnête, on entend ce genre de discours depuis plus d'un an. Au final, tout dépend de ce que va vraiment faire la Fed.
Cette fois, est-ce vraiment différent ou bien c'est encore le même scénario qu'avant ?
Si tout est déjà intégré dans les prix, attendons simplement que l'IA entre en scène, on en reparlera en 2026.
Effectivement, il faudrait encaisser avant la fin de l'année, mais si ça repart à la hausse, il faudra courir après... et ainsi de suite.
JPMorgan dit qu'il y a de la pression à court terme, alors il faut se préparer à acheter progressivement.
La priorité d'ici la fin de l'année, c'est de préserver le capital, tout ce qui monte en plus, c'est du bonus.
Comme toujours, les perspectives à moyen terme concernent ce qui se passera dans deux ans, on verra si on y est encore l'an prochain.
Il y a plein de signaux de sommet à court terme, rien de surprenant.
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ForeverBuyingDips
· 12-09 06:58
À propos, il faut vraiment faire attention à cette phase de volatilité à haut niveau des actions américaines, il y en aura sûrement pas mal qui vendront à perte en fin d’année.
Puisque tout est déjà « price in », il faudrait commencer à réduire ses positions, non ? À moins de vouloir tout miser à nouveau.
À moyen terme, je reste optimiste, mais à court terme, la pression des prises de bénéfices est bien là.
Le plus important, c’est de voir quand la Fed commencera vraiment à injecter de la liquidité, une posture accommodante seule ne sert pas à grand-chose.
Si l’année prochaine la guerre commerciale s’apaise et que l’IA repart, il y aura peut-être encore des opportunités, mais pour l’instant, qui oserait miser gros ?
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FOMOSapien
· 12-09 06:58
Encore en train de prédire la baisse, et à chaque fois, qu'est-ce que ça donne ? À la fin de l'année, il n'y a rien à rendre, l'année prochaine ça repart direct vers de nouveaux sommets.
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nft_widow
· 12-09 06:55
Tout le monde a déjà profité de la hausse et tu veux encore acheter au plus bas ? La vraie stratégie, c’est de partir avant la fin de l’année. De toute façon, j’ai déjà sécurisé mes gains.
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BearMarketSurvivor
· 12-09 06:54
On recommence à être haussier ? J’attends la prise de bénéfices de fin d’année depuis un moment, j’ai juste peur de ne pas pouvoir sortir assez vite à ce moment-là.
Baissier à court terme, haussier à long terme, ce discours-là, je l’ai entendu mille fois haha.
JP Morgan a enfin dit quelque chose de sensé : je suis d’accord, les anticipations de baisse des taux ont déjà été pleinement intégrées, il faut effectivement se méfier d’une correction.
Il faut attendre jusqu’en 2026 ? Moi, je ne regarde que la tendance de cette semaine.
Baisse des taux, discours dovish, plus la hype autour de l’IA... Pas étonnant que ça monte aussi fort cette fois. Mais c’est aussi le moment le plus dangereux, non ?
Quand les petits porteurs ramassent les dernières miettes, c’est là que JP Morgan lance le signal de prise de profit. Ce genre de scénario, je l’ai vu d’innombrables fois.
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OnchainDetective
· 12-09 06:32
Oh, cette logique, je l’ai percée depuis longtemps. Ce discours de JPMorgan, ce n’est rien d’autre que la rhétorique classique "secouage à court terme, optimisme à moyen terme", non ? D’après le suivi des flux de capitaux, les institutions sont justement en train d’accumuler à bas prix en ce moment.
Prises de bénéfices à court terme ? C’est évident, les anticipations de baisse des taux sont déjà intégrées dans les prix, tout a déjà été reflété, c’est un signal typique de lessivage… Mais il faut reconnaître que les facteurs de soutien à moyen terme tiennent la route : politique accommodante, prix du pétrole bas, détente tarifaire, avec cette combinaison, la banque centrale aura forcément une marge de manœuvre pour assouplir.
La partie sur 2026 est intéressante : applications IA + apaisement commercial. La logique des flux de capitaux derrière ça est en fait très claire, il faut vraiment creuser la direction réelle des positions institutionnelles.
JPMorgan : Les actions américaines pourraient subir des pressions de prises de bénéfices à court terme, mais restent haussières à moyen terme
【Bitpush】Les grandes banques de Wall Street viennent de doucher l’enthousiasme — l’équipe de stratégie de JPMorgan estime que le rally des actions américaines pourrait ne pas durer très longtemps.
Leur logique est directe : le marché a déjà largement intégré les attentes de baisse de taux de la Fed, et les cours sont revenus dans une zone élevée. Dans ce contexte, d’ici la fin de l’année, les investisseurs ont davantage tendance à prendre leurs bénéfices plutôt qu’à continuer d’augmenter leurs positions. Après tout, ce qui devait monter a déjà monté, et les anticipations sont déjà intégrées dans les cours.
Mais si l’on allonge l’horizon, JPMorgan reste plutôt optimiste pour le moyen terme. Ils listent plusieurs facteurs de soutien : un biais accommodant de la Fed en toile de fond ; des prix du pétrole qui stagnent à bas niveau, un ralentissement des hausses salariales, et un relâchement des pressions tarifaires aux États-Unis, autant d’éléments qui donnent à la banque centrale de la marge pour assouplir la politique monétaire sans trop craindre un rebond de l’inflation. En regardant vers 2026, l’atténuation des tensions commerciales, le redressement des économies asiatiques, l’impulsion budgétaire dans la zone euro, ainsi que l’accélération du déploiement de l’IA aux États-Unis, pourraient devenir de nouveaux moteurs.
En clair : prudence à court terme, biais haussier à moyen terme — typique de Wall Street.