D'après l'expérience historique, la divergence non agricole est souvent la « zone tampon » des actifs risqués.
En regardant l'histoire, chaque fois que les données non agricoles montrent une « création d'emplois acceptable, mais une hausse du taux de chômage et une baisse des salaires », les actifs risqués ne chutent pas immédiatement, mais entrent plutôt dans une période de correction des valorisations. La raison est simple : ce type de données affaiblit la logique de « poursuite du resserrement de la politique », sans pour autant déclencher la panique d'une « récession économique ».
C'est particulièrement vrai pour le marché des cryptomonnaies. Les actifs cryptographiques ne dépendent pas directement de l'emploi lui-même, mais sont fortement influencés par les attentes de liquidité. Lorsque le marché commence à croire que « la période la plus stricte est derrière nous », la préférence pour le risque des investisseurs se rétablit progressivement.
Goldman Sachs mentionne que « les facteurs à court terme sont nombreux », mais cette phrase n'est en réalité pas défavorable. Car si ces facteurs à court terme disparaissent et que la tendance reste à la refroidissement, cela renforcera encore les attentes d'assouplissement ; si les données rebondissent, cela signifie aussi que la résilience de l'économie est toujours présente, et le marché n'a pas besoin de paniquer.
Le vrai danger serait une chute soudaine de l'emploi ou une reprise incontrôlée de l'inflation, mais ces deux scénarios ne se sont pas encore produits.
La divergence des données elle-même pourrait plutôt devenir une zone tampon pour les actifs risqués.
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#非农数据超预期
D'après l'expérience historique, la divergence non agricole est souvent la « zone tampon » des actifs risqués.
En regardant l'histoire, chaque fois que les données non agricoles montrent une « création d'emplois acceptable, mais une hausse du taux de chômage et une baisse des salaires », les actifs risqués ne chutent pas immédiatement, mais entrent plutôt dans une période de correction des valorisations. La raison est simple : ce type de données affaiblit la logique de « poursuite du resserrement de la politique », sans pour autant déclencher la panique d'une « récession économique ».
C'est particulièrement vrai pour le marché des cryptomonnaies. Les actifs cryptographiques ne dépendent pas directement de l'emploi lui-même, mais sont fortement influencés par les attentes de liquidité. Lorsque le marché commence à croire que « la période la plus stricte est derrière nous », la préférence pour le risque des investisseurs se rétablit progressivement.
Goldman Sachs mentionne que « les facteurs à court terme sont nombreux », mais cette phrase n'est en réalité pas défavorable. Car si ces facteurs à court terme disparaissent et que la tendance reste à la refroidissement, cela renforcera encore les attentes d'assouplissement ; si les données rebondissent, cela signifie aussi que la résilience de l'économie est toujours présente, et le marché n'a pas besoin de paniquer.
Le vrai danger serait une chute soudaine de l'emploi ou une reprise incontrôlée de l'inflation, mais ces deux scénarios ne se sont pas encore produits.
La divergence des données elle-même pourrait plutôt devenir une zone tampon pour les actifs risqués.