Les débutants en trading confondent souvent les concepts de clôture de position, liquidation forcée, position non clôturée et transfert de contrat. En réalité, leurs différences sont importantes, surtout entre clôture de position et liquidation forcée — l’une est une action volontaire, l’autre une sortie imposée. Aujourd’hui, d’un point de vue pratique, nous allons clarifier en profondeur ces termes clés du trading à terme.
Clôture de position vs liquidation forcée : deux façons fondamentales de sortir d’une position
Pour commencer : la clôture de position est une fin volontaire de votre part, la liquidation forcée est une fin imposée par la bourse ou le broker.
Clôture : vous avez le contrôle
Clôturer une position signifie que c’est vous qui décidez de mettre fin à une transaction. Cela peut être parce que :
Vous avez atteint votre objectif de profit et souhaitez encaisser
Vous avez subi une perte jusqu’au niveau de votre stop-loss, et vous choisissez d’arrêter pour limiter la casse
La logique qui vous a fait entrer en position a changé, et vous souhaitez sortir pour éviter le risque
Vous avez besoin de liquidités et décidez de réaliser votre position
L’élément clé : le moment, le prix et la quantité de clôture sont entièrement décidés par vous. Vous pouvez clôturer partiellement, attendre un meilleur prix, ou ne clôturer qu’une partie pour continuer à profiter du mouvement. Après clôture, votre résultat est fixé — il n’y aura pas de pertes plus importantes.
Exemple : vous achetez un contrat à terme sur l’indice Taïwan décembre, avec un coût à 16 500 points. Plus tard, il monte à 16 800 points, et vous pensez « c’est suffisant », vous vendez tout pour clôturer. Votre profit est alors fixe : 300 points × 200 (multiplicateur du contrat Taïwan) = 60 000 NT$. Ou, si le marché chute à 16 200 points, vous décidez de couper la position pour limiter la perte. Que ce soit en gain ou en perte, clôturer signifie déclarer la fin de la transaction et fixer le résultat.
Liquidation forcée : la bourse force la sortie
La liquidation forcée est une autre histoire — vous ne pouvez plus maintenir votre position, la bourse ou le broker ferme votre position de force. Cela se produit généralement dans le cadre de trading à effet de levier ou de contrats à terme, car vous n’avez besoin de déposer qu’une petite marge pour contrôler une somme importante.
Le processus de liquidation forcée est le suivant :
Le marché évolue dans la direction opposée : votre position commence à perdre
Marge insuffisante : la perte s’accumule et votre compte tombe en dessous du niveau de marge de maintien
Notification de marge : le broker envoie un Margin Call, vous demandant de déposer des fonds pour couvrir la marge
Incapacité ou refus de déposer : vous n’avez pas d’argent liquide ou vous ne réagissez pas à temps
Liquidation forcée : le broker vend votre position au prix du marché, parfois à un prix moins favorable
Exemple concret :
Vous utilisez 46 000 NT$ de marge pour acheter un contrat à terme sur l’indice Taïwan. Soudain, le marché chute, et vous perdez 15 000 NT$, il ne reste plus que 31 000 NT$, en dessous du seuil de marge de maintien (environ 35 000 NT$). Le broker envoie une notification, mais faute de fonds ou de réaction, votre position est liquidée de force. Non seulement votre marge initiale de 46 000 NT$ est perdue, mais vous pouvez aussi devoir des dettes supplémentaires.
Le point le plus redoutable de la liquidation forcée : vous perdez toute capacité de choix. Peu importe où le prix est liquidé, vous ne contrôlez pas le moment ni le prix ; la perte peut être bien plus grande que prévu.
Clôture vs liquidation forcée : tableau récapitulatif des différences
Aspect
Clôture
Liquidation forcée
Qui décide
Investisseur volontaire
Courtier ou bourse impose
Moment
Totalement à votre contrôle
Imposé, sans choix
Prix d’exécution
Au marché ou à un prix choisi
Au marché, souvent moins favorable
Confirmation du résultat
Immédiate
Immédiate, mais souvent avec pertes additionnelles
Impact sur le compte
Fin de la transaction, fonds disponibles
Compte gelé, voire dette
Niveau de risque
Risque contrôlable
Risque hors de contrôle
En résumé : la clôture est un art, la liquidation forcée une catastrophe.
Autres termes importants à connaître
Ouverture : le début d’une transaction
L’ouverture consiste à lancer une nouvelle position — que ce soit en achat (long) ou en vente (short). Une fois la position ouverte, vous avez une « position » en cours, mais le profit ou la perte est encore « flottant », c’est-à-dire en « papier » ou en « virtual ». Seule la clôture peut transformer ces gains ou pertes en résultats réels.
Logique :
Ouverture = début de la transaction
Clôture = fin de la transaction, résultat final
Volume non clôturé : indicateur de la dynamique du marché
Le volume non clôturé désigne le nombre total de contrats à terme ou d’options qui n’ont pas encore été soldés ou livrés. C’est un indicateur clé pour observer la force du marché.
Augmentation du volume non clôturé :
L’arrivée continue de nouveaux fonds indique que la tendance (haussière ou baissière) pourrait se poursuivre. Par exemple : si l’indice Taïwan monte et que le volume non clôturé augmente, cela montre une forte demande d’achat ; inversement, si le marché monte mais que le volume diminue, cela pourrait simplement refléter des rachats de positions courtes (reprise de positions vendeuses), et la tendance pourrait manquer de fondement.
Diminution du volume non clôturé :
Les investisseurs sortent progressivement, la tendance pourrait s’essouffler ou inverser.
Transfert de contrat : une technique spécifique au trading à terme
Le transfert de contrat consiste à changer de contrat à terme en passant d’un mois proche à un mois plus éloigné. Comme les contrats à terme ont une date d’échéance (par exemple, le troisième mercredi du mois pour le Taïwan), si vous croyez à une tendance à long terme, il faut transférer votre position avant l’échéance, sinon vous serez obligé de livrer ou de clôturer.
Coûts du transfert :
Contango (marché en hausse) : prix du contrat éloigné > prix du contrat proche, transférer coûte plus cher car vous vendez à un prix inférieur et achetez à un prix supérieur
Backwardation (marché en baisse) : prix du contrat éloigné < prix du contrat proche, transférer peut générer un profit
De nombreux brokers proposent un service de transfert automatique, mais il est important de connaître leurs règles et frais ; le transfert manuel permet de choisir le moment et le prix optimal.
Note : il n’y a pas de transfert dans le cas des actions ou du forex, uniquement pour les dérivés comme les contrats à terme ou options.
Quand ouvrir une position ? Maîtriser ces principes pour réduire le risque
Avant d’ouvrir, demandez-vous : « Pourquoi je rentre sur le marché ? Quel est mon niveau de tolérance au risque ? »
La logique de décision pour ouvrir une position
Premier niveau : la tendance macro doit être favorable
Vérifiez si l’indice Taïwan (TAIEX) est au-dessus des moyennes mobiles importantes ou dans une structure haussière avec des points hauts et bas en progression. En marché haussier, la probabilité de succès est plus grande ; en marché baissier, évitez d’ouvrir ou limitez la taille de la position.
Deuxième niveau : la solidité fondamentale de l’action
Vérifiez si l’entreprise a une croissance des revenus, une amélioration des profits ou bénéficie de politiques favorables (ex : semi-conducteurs, énergie verte). Évitez d’acheter des valeurs en déclin ou avec des problèmes financiers, sous peine d’être piégé.
Troisième niveau : la confirmation technique
Breakout : le prix dépasse une zone de consolidation ou un sommet précédent avec un volume en hausse, signe d’un intérêt acheteur
Évitez : les valeurs qui chutent sans confirmation, ou dont le volume diminue, car elles risquent une chute plus forte
Indicateurs : MACD en croisement haussier, RSI sortant de la zone de survente, peuvent confirmer l’entrée
Quatrième niveau : fixer un stop-loss avant d’ouvrir
Définissez un niveau de sortie en cas de perte (par exemple, 3-5% en dessous du prix d’entrée), pour limiter le risque. Ne pas ouvrir en position pleine, mais par étapes, pour éviter une perte totale en cas de mouvement défavorable.
Philosophie d’investissement taïwanaise : mieux manquer une opportunité que d’acheter à tout prix. Approche prudente, stop-loss rapide, et focalisation sur un risque maîtrisé plutôt que sur la recherche de la perfection.
Quand clôturer pour prendre des profits ou protéger le capital
Le moment de clôturer est encore plus critique que celui d’ouvrir. La décision de clôture détermine combien vous pouvez gagner ou perdre.
Quatre signaux pour clôturer
1. Atteindre l’objectif de profit fixé
Avant d’entrer, fixez un objectif (ex : +10%, ou un niveau de moyenne mobile). Dès que c’est atteint, prenez partiellement ou totalement vos gains pour éviter de tout perdre si le marché se retourne. En cas de marché très fort, vous pouvez garder une partie, mais en ajustant votre stop pour sécuriser.
2. Toucher le stop-loss
Que ce soit un stop fixe (ex : -5%) ou technique (perte sous un support clé ou une moyenne mobile), si le signal est déclenché, il faut sortir immédiatement. La patience à ne pas couper peut aggraver la perte.
3. Changement fondamental défavorable
Si la société publie des résultats décevants ou annonce une mauvaise nouvelle (dette élevée, changement réglementaire), il faut sortir même si le prix n’a pas touché le stop, pour éviter une dégradation supplémentaire.
4. Signal technique de retournement
Longue bougie noire, cassure de la moyenne mobile 20 ou 60, volume en forte hausse à la baisse, divergence sur RSI ou MACD — autant de signaux d’alerte pour sortir.
La pire erreur : la cupidité et l’hésitation
Beaucoup de traders attendent que la position continue à monter, pensant « peut-être que ça va encore grimper », et ratent le moment idéal pour sortir. Résultat : ils se font piéger. À l’inverse, certains hésitent à couper quand il faut, espérant un rebond, et finissent par accumuler des pertes.
Solution : dès l’ouverture, fixez des règles (objectif, stop-loss), et respectez-les strictement après l’entrée. La discipline est la clé pour préserver ses gains et limiter ses pertes, plutôt que de céder aux émotions du marché.
Rappel : le T+2 en bourse taïwanaise
Les actions taïwanaises suivent le système T+2, c’est-à-dire que si vous vendez aujourd’hui, le paiement ne sera effectué que deux jours ouvrables plus tard. Il faut en tenir compte dans la gestion de votre cash, pour ne pas réutiliser des fonds qui ne sont pas encore disponibles.
En conclusion
Comprendre la différence entre clôture et liquidation forcée est la première étape pour passer de débutant à expert. La clôture vous donne le contrôle, la liquidation vous échappe. Plutôt que d’attendre la catastrophe, apprenez à sortir à bon escient — c’est la vraie clé pour survivre et prospérer sur le marché.
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Quelle est la différence entre clôture de position et liquidation ? Comprendre ces termes du trading à terme vous évitera de tout perdre.
Les débutants en trading confondent souvent les concepts de clôture de position, liquidation forcée, position non clôturée et transfert de contrat. En réalité, leurs différences sont importantes, surtout entre clôture de position et liquidation forcée — l’une est une action volontaire, l’autre une sortie imposée. Aujourd’hui, d’un point de vue pratique, nous allons clarifier en profondeur ces termes clés du trading à terme.
Clôture de position vs liquidation forcée : deux façons fondamentales de sortir d’une position
Pour commencer : la clôture de position est une fin volontaire de votre part, la liquidation forcée est une fin imposée par la bourse ou le broker.
Clôture : vous avez le contrôle
Clôturer une position signifie que c’est vous qui décidez de mettre fin à une transaction. Cela peut être parce que :
L’élément clé : le moment, le prix et la quantité de clôture sont entièrement décidés par vous. Vous pouvez clôturer partiellement, attendre un meilleur prix, ou ne clôturer qu’une partie pour continuer à profiter du mouvement. Après clôture, votre résultat est fixé — il n’y aura pas de pertes plus importantes.
Exemple : vous achetez un contrat à terme sur l’indice Taïwan décembre, avec un coût à 16 500 points. Plus tard, il monte à 16 800 points, et vous pensez « c’est suffisant », vous vendez tout pour clôturer. Votre profit est alors fixe : 300 points × 200 (multiplicateur du contrat Taïwan) = 60 000 NT$. Ou, si le marché chute à 16 200 points, vous décidez de couper la position pour limiter la perte. Que ce soit en gain ou en perte, clôturer signifie déclarer la fin de la transaction et fixer le résultat.
Liquidation forcée : la bourse force la sortie
La liquidation forcée est une autre histoire — vous ne pouvez plus maintenir votre position, la bourse ou le broker ferme votre position de force. Cela se produit généralement dans le cadre de trading à effet de levier ou de contrats à terme, car vous n’avez besoin de déposer qu’une petite marge pour contrôler une somme importante.
Le processus de liquidation forcée est le suivant :
Exemple concret : Vous utilisez 46 000 NT$ de marge pour acheter un contrat à terme sur l’indice Taïwan. Soudain, le marché chute, et vous perdez 15 000 NT$, il ne reste plus que 31 000 NT$, en dessous du seuil de marge de maintien (environ 35 000 NT$). Le broker envoie une notification, mais faute de fonds ou de réaction, votre position est liquidée de force. Non seulement votre marge initiale de 46 000 NT$ est perdue, mais vous pouvez aussi devoir des dettes supplémentaires.
Le point le plus redoutable de la liquidation forcée : vous perdez toute capacité de choix. Peu importe où le prix est liquidé, vous ne contrôlez pas le moment ni le prix ; la perte peut être bien plus grande que prévu.
Clôture vs liquidation forcée : tableau récapitulatif des différences
En résumé : la clôture est un art, la liquidation forcée une catastrophe.
Autres termes importants à connaître
Ouverture : le début d’une transaction
L’ouverture consiste à lancer une nouvelle position — que ce soit en achat (long) ou en vente (short). Une fois la position ouverte, vous avez une « position » en cours, mais le profit ou la perte est encore « flottant », c’est-à-dire en « papier » ou en « virtual ». Seule la clôture peut transformer ces gains ou pertes en résultats réels.
Logique :
Volume non clôturé : indicateur de la dynamique du marché
Le volume non clôturé désigne le nombre total de contrats à terme ou d’options qui n’ont pas encore été soldés ou livrés. C’est un indicateur clé pour observer la force du marché.
Augmentation du volume non clôturé : L’arrivée continue de nouveaux fonds indique que la tendance (haussière ou baissière) pourrait se poursuivre. Par exemple : si l’indice Taïwan monte et que le volume non clôturé augmente, cela montre une forte demande d’achat ; inversement, si le marché monte mais que le volume diminue, cela pourrait simplement refléter des rachats de positions courtes (reprise de positions vendeuses), et la tendance pourrait manquer de fondement.
Diminution du volume non clôturé : Les investisseurs sortent progressivement, la tendance pourrait s’essouffler ou inverser.
Transfert de contrat : une technique spécifique au trading à terme
Le transfert de contrat consiste à changer de contrat à terme en passant d’un mois proche à un mois plus éloigné. Comme les contrats à terme ont une date d’échéance (par exemple, le troisième mercredi du mois pour le Taïwan), si vous croyez à une tendance à long terme, il faut transférer votre position avant l’échéance, sinon vous serez obligé de livrer ou de clôturer.
Coûts du transfert :
De nombreux brokers proposent un service de transfert automatique, mais il est important de connaître leurs règles et frais ; le transfert manuel permet de choisir le moment et le prix optimal.
Note : il n’y a pas de transfert dans le cas des actions ou du forex, uniquement pour les dérivés comme les contrats à terme ou options.
Quand ouvrir une position ? Maîtriser ces principes pour réduire le risque
Avant d’ouvrir, demandez-vous : « Pourquoi je rentre sur le marché ? Quel est mon niveau de tolérance au risque ? »
La logique de décision pour ouvrir une position
Premier niveau : la tendance macro doit être favorable Vérifiez si l’indice Taïwan (TAIEX) est au-dessus des moyennes mobiles importantes ou dans une structure haussière avec des points hauts et bas en progression. En marché haussier, la probabilité de succès est plus grande ; en marché baissier, évitez d’ouvrir ou limitez la taille de la position.
Deuxième niveau : la solidité fondamentale de l’action Vérifiez si l’entreprise a une croissance des revenus, une amélioration des profits ou bénéficie de politiques favorables (ex : semi-conducteurs, énergie verte). Évitez d’acheter des valeurs en déclin ou avec des problèmes financiers, sous peine d’être piégé.
Troisième niveau : la confirmation technique
Quatrième niveau : fixer un stop-loss avant d’ouvrir Définissez un niveau de sortie en cas de perte (par exemple, 3-5% en dessous du prix d’entrée), pour limiter le risque. Ne pas ouvrir en position pleine, mais par étapes, pour éviter une perte totale en cas de mouvement défavorable.
Philosophie d’investissement taïwanaise : mieux manquer une opportunité que d’acheter à tout prix. Approche prudente, stop-loss rapide, et focalisation sur un risque maîtrisé plutôt que sur la recherche de la perfection.
Quand clôturer pour prendre des profits ou protéger le capital
Le moment de clôturer est encore plus critique que celui d’ouvrir. La décision de clôture détermine combien vous pouvez gagner ou perdre.
Quatre signaux pour clôturer
1. Atteindre l’objectif de profit fixé Avant d’entrer, fixez un objectif (ex : +10%, ou un niveau de moyenne mobile). Dès que c’est atteint, prenez partiellement ou totalement vos gains pour éviter de tout perdre si le marché se retourne. En cas de marché très fort, vous pouvez garder une partie, mais en ajustant votre stop pour sécuriser.
2. Toucher le stop-loss Que ce soit un stop fixe (ex : -5%) ou technique (perte sous un support clé ou une moyenne mobile), si le signal est déclenché, il faut sortir immédiatement. La patience à ne pas couper peut aggraver la perte.
3. Changement fondamental défavorable Si la société publie des résultats décevants ou annonce une mauvaise nouvelle (dette élevée, changement réglementaire), il faut sortir même si le prix n’a pas touché le stop, pour éviter une dégradation supplémentaire.
4. Signal technique de retournement Longue bougie noire, cassure de la moyenne mobile 20 ou 60, volume en forte hausse à la baisse, divergence sur RSI ou MACD — autant de signaux d’alerte pour sortir.
La pire erreur : la cupidité et l’hésitation
Beaucoup de traders attendent que la position continue à monter, pensant « peut-être que ça va encore grimper », et ratent le moment idéal pour sortir. Résultat : ils se font piéger. À l’inverse, certains hésitent à couper quand il faut, espérant un rebond, et finissent par accumuler des pertes.
Solution : dès l’ouverture, fixez des règles (objectif, stop-loss), et respectez-les strictement après l’entrée. La discipline est la clé pour préserver ses gains et limiter ses pertes, plutôt que de céder aux émotions du marché.
Rappel : le T+2 en bourse taïwanaise
Les actions taïwanaises suivent le système T+2, c’est-à-dire que si vous vendez aujourd’hui, le paiement ne sera effectué que deux jours ouvrables plus tard. Il faut en tenir compte dans la gestion de votre cash, pour ne pas réutiliser des fonds qui ne sont pas encore disponibles.
En conclusion
Comprendre la différence entre clôture et liquidation forcée est la première étape pour passer de débutant à expert. La clôture vous donne le contrôle, la liquidation vous échappe. Plutôt que d’attendre la catastrophe, apprenez à sortir à bon escient — c’est la vraie clé pour survivre et prospérer sur le marché.