La position de Christine Lagarde sur Bitcoin en tant qu'actif de réserve met en évidence la division persistante entre les institutions financières traditionnelles et l'adoption croissante de la cryptomonnaie à l'échelle mondiale. Alors que les banques centrales privilégient la liquidité et la sécurité, l'acceptation croissante de Bitcoin par les institutions et gouvernements américains remet en question cette perspective conservatrice.

Ce rejet par la BCE pourrait ne pas ralentir l'élan de Bitcoin, d'autant plus que de plus en plus de pays explorent les actifs numériques pour la diversification. S'agit-il d'une erreur stratégique de la part de la BCE, ou Bitcoin est-il encore trop volatile pour les réserves des banques centrales ?

Quel est votre avis sur la question? L'Europe finira-t-elle par suivre les États-Unis dans l'adoption de Bitcoin, ou restera-t-elle résistante?

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