L’IA physique transforme les infrastructures urbaines d’une manière que nous n’aurions pas pu imaginer il y a quelques années. Pensez à l’optimisation du trafic en temps réel, à la maintenance prédictive des systèmes publics, à la coordination des interventions d’urgence qui fonctionne réellement.
La question n’est pas de savoir si les villes adopteront ces technologies, mais lesquelles offriront des résultats le plus rapidement. Certains misent sur les réseaux de capteurs. D’autres affirment que la vision par ordinateur est le véritable moteur du changement. Les partisans du edge computing soutiennent que la latence est l’enjeu principal.
Quel est votre avis ? Quelle pile technologique permet vraiment de faire passer la gestion des villes intelligentes de la théorie à la réalité ?
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MetaverseHomeless
· Il y a 7h
Pour être honnête, l'informatique en périphérie (edge computing) est le véritable cœur du sujet, tout le reste n'est que du bluff qui sonne bien.
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AltcoinTherapist
· Il y a 7h
Honnêtement, les réseaux de capteurs semblent plus fiables, la vision par ordinateur reste encore trop idéaliste.
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NftRegretMachine
· Il y a 7h
L'informatique en périphérie est vraiment un goulot d'étranglement : un retard d'une seconde et la ville devient chaotique.
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LucidSleepwalker
· Il y a 8h
Les gens de l’informatique en périphérie n’avaient pas tort, la latence est vraiment une question de vie ou de mort.
Honnêtement, empiler des réseaux de capteurs ne sert à rien, si la réaction est en retard d’une demi-seconde, la ville devient ingérable.
La reconnaissance visuelle est effectivement puissante, mais ce qui peut vraiment sauver des vies, c’est la rapidité…
L’IA physique, ça sonne très science-fiction, mais au moment de l’implémentation, ça commence à flancher.
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J’ai l’impression que ces villes peuvent s’agiter autant qu’elles veulent, le vrai problème, c’est de savoir qui s’empare des données.
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Haha, c’est un peu exagéré, le vrai goulot d’étranglement, c’est le coût des infrastructures, pas le choix technologique.
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Je veux juste savoir quelle ville va se planter en premier, comme ça les autres pourront en tirer des leçons.
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Le edge computing doit être la priorité, sinon la latence des data centers est tout simplement insupportable.
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Il suffit d’essayer les trois options, et de voir qui aura le ROI qui explose en premier.
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AirdropDreamer
· Il y a 8h
Honnêtement, l'informatique en périphérie (edge computing) est vraiment sous-estimée. Se fier uniquement au cloud avec une latence aussi élevée, comment gérer les situations d'urgence ? Un retard de réaction de quelques centaines de millisecondes peut déjà causer des problèmes.
L’IA physique transforme les infrastructures urbaines d’une manière que nous n’aurions pas pu imaginer il y a quelques années. Pensez à l’optimisation du trafic en temps réel, à la maintenance prédictive des systèmes publics, à la coordination des interventions d’urgence qui fonctionne réellement.
La question n’est pas de savoir si les villes adopteront ces technologies, mais lesquelles offriront des résultats le plus rapidement. Certains misent sur les réseaux de capteurs. D’autres affirment que la vision par ordinateur est le véritable moteur du changement. Les partisans du edge computing soutiennent que la latence est l’enjeu principal.
Quel est votre avis ? Quelle pile technologique permet vraiment de faire passer la gestion des villes intelligentes de la théorie à la réalité ?